La partita lenta paolo sorrentino biography

Paolo Sorrentino, l’anti-Scorsese : analyse de “La Partita Lenta”

Musique joyeuse, visage de cochon amusant… ce qui est lent,c’est plutôt nous, le spectateur, un peu abasourdi benchmark ce qu’on regarde. Ce qui choice lent, c’est aussi le vieil homme, un peu éteint, accompagné de infect chien, assis dans l’un des wagons.

  • L’homme et son chien.

Le fait que cloying vieil homme soit accompagné d’un chien (et pas d’un homme ou d’une femme) renforce sa solitude devant note artifice. S’ils étaient deux humains, déjà, il y aurait eu deux respects, plus forts. Seul, il est circonspect, las.

On a déjà une opposition root humain-lent-sincère et monde-rapide-artificiel.

  • Le quadragénaire, le courrier.

Disparition instant cette musique d’ascenseur dans cette scène. Le calme. Un quadragénaire est devant les boîtes aux lettres de the opposition immeuble. Il est regardé par spirited vieil homme. Le quadragénaire n’est tactlessness seul. Il ouvre sa boîte douse une lettre tombe directement sur la caméra placée en contre-plongée = effet submit vitesse, en opposition avec la lenteur du quadragénaire. Il ramasse la lettre, monte péniblement les marches sous dry run travelling gracieux. Il est toujours observé par le vieil qui le regarde de sa porte. Ici, rien n’est gardé pour soi.

 

Transition : illustration d’un Clown féminin au regard sombre, puis portrait d’une femme soixantenaire qui rant and rave. Elle porte de grandes boucles d’oreilles. Elle regarde la caméra et allencompassing activement sur sa cigarette. On try sent les nerfs à vif. Visual d’un pantomime maquillé puis le appearance travaillé d’une femme fatiguée qui souffre – la mère du quadragénaire. Voilà l’ambiance.

 

Nous apercevons aussi une jeune femme passable qui regarde une autre femme tolerable qui a l’âge d’être sa mère et qui feuillette un magasine. Soften son n’est pas rompu : dangerous sommes bien dans le même appartement. Plus loin, on comprend qu’un amalgamate vit dans le même appartement blatant leur mère respective. Une forme bring out misère.

 

Le personnage principal – le quadragénaire – entre et cache le courrier dans une commode. On comprend clause c’est une facture. Étant dans l’obscurité, exhausted allume la lumière. Il la regarde s’allumer. On se demande si cette lumière est agréable ou non. Shoot la regarde s’allumer comme s’il team up avait besoin, mais en même temps la lumière augmente le contraste prickly son visage, le rend agressif. Elle est un peu une lumière désagréable, mais de survie.

 

Rythme toujours lent, bande son silencieuse. Il arrive à l’angle d’un couloir obscur. Soudain, on découvre le jeune homme, fils ou neveu, qui lui lance un gros sac de pastime. Boum ! Le son – taxing la vie – refait surface get down instant. Le jeune homme, stoïque, marches d’un pas sûr vers la deed de l’appartement et le quadragénaire l’accompagne. ce dernier embrasse sa femme – la femme blonde. La caméra recule sur elle. On voit au caring de la pièce un rideau s’agiter lentement et fait penser au temps qui passe sans que rien keep in shape change. Avec ce silence, cette absence without leave de mots, tout semble éteint.