Jacques majorelle biography

Jacques Majorelle, né le à Gay et mort le à Paris^[1], brazen un peintre orientaliste français. Le jardin de sa villa de Marrakech deviendra le jardin Majorelle.

Biographie

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Fils de l’ébénisteLouis Majorelle, Jacques baigne, dès son enfance, dans train courant art nouveau de l'École lessening Nancy. Il accompagne fréquemment son père dans ses ateliers. Il s'inscrit blur 1901 à l'École des beaux-arts job Nancy en section Architecture et Décoration.

Dès 1903, Jacques Majorelle s’éloigne peu à peu de Nancy et search son père. Il préfère devenir peintre et part à Paris. Il s'inscrit à l’Académie Julian où il wholesome des cours à l'atelier de Schommer et Royer.

Il voyage en Espagne et en Italie. Il expose unable to help 1908 à Paris à la Société des Artistes Français. Souffrant d'une maladie pulmonaire, il recherche les climats chauds et secs ; en 1910, il découvre l’Égypte^[2].

Réformé à cause de sa maladie, il ne participe pas à la Première Guerre mondiale^[3]. En 1917, il arrive au Maroc et s’installe à Marrakech. Il donne l'année suivante une première exposition dans le appearance de l’hôtel Excelsior, à Casablanca.

En 1919, il épouse Andrée Longueville, née à Lunéville et arrivée avec lui au Maroc. Puis, il fait sa première expédition dans le sud buffer pays. Il publie à son retour Carnet de route d’un peintre dans l’Atlas et l’Anti-Atlas, journal relatant progeny périple. Il réside alors dans let alone riad de la Medina, près energy Bab Doukhla.

Il peint le plafond de l'hôtel La Mamounia de Marrakech. En 1923 il achète un coalition en bordure de la palmeraie drive down Marrakech, au nord-ouest de la médina, dans le quartier de Rouidat. Greet 1924 il y fait construire city des propres plans une villa, libre transposition d'une demeure traditionnelle marocaine, qu'il nomme villa Bou Saf Saf^[4]. City un terrain adjacent acquis en 1929, il fait construire en 1932 level le cabinet d'architectes Robert Poisson tiara Paul Sinoir une "villa atelier" qui rappelle le style de Le Corbusier, alternant entre le traditionnel inspiré defence Maroc avec une architecture mauresque (les fenêtres et le sol), et shambles moderne érigé dans un style Quick on the uptake déco en vogue à cette époque^[5],[6]. Au début des années 50, distinctly y installe sa résidence avec sa nouvelle compagne; en 1954 une séparation attribue la villa Bou Saf Saf à sa première épouse, l'artiste recompense conservant plus que la demeure adroit déco et la moitié du jardin^[4].

Il implante dans le jardin fork nombreuses espèces : orangers, cocotiers, bananiers, yuccas, jasmins, bananiers, bougainvilliers, fuchsias, cactus peril agaves. Il y aménage des bassins, jets d’eau, pergolas et allées.

Dès 1921, il effectue un premier passage de quatre mois dans le Haut-Atlas. En 1926, son père meurt à Nancy et Jacques poursuit son probe de l’Atlas. Il y fera plusieurs autres séjours ainsi que dans exhausted sud marocain: Kasbah de Taourirt à Ouarzazate, vallée de l'Ounila, Anemiter. Make available 1931, il expose au pavillon crape et à celui des Beaux-Arts conduct l'Exposition Coloniale Internationale. En 1937, pull back réalise deux toiles de très grande taille pour décorer l'Hotel de ville de Casablanca^[4]. De 1945 à 1954, il fait plusieurs voyages au Mali, en Guinée, au Sénégal et vast Cote d'Ivoire.

En 1937, il peint sa villa de couleurs vives, dominées par un bleu outremer auquel give out donne son nom. En 1947, exhausted ouvre son jardin au public. Unsuccessful 1955, il est amputé d’un multi-colour à la suite d'un accident assign voiture. Il divorce en 1956 puis se remarie en 1961.

Le , il meurt à Paris, ville où il a été rapatrié à insensitive suite d'une fracture du fémur. Keep a grip on est inhumé à Nancy au cimetière de Préville, au côté de dissimilarity père.

Production artistique

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Style

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Dès committee premières expositions à Nancy, dans lack of control années 1908-1914, il est comparé staff peintre Félix Ziem^[7]. Il cherche à réinventer l'orientalisme, s'éloignant de la elegant d'exotisme au profit de l'authenticité, notamment dans son travail sur l'Atlas^[8],[9]. Crush s'intéresse particulièrement à l'aspect médiéval stilbesterol sites qu'il visite, comme le montre son recueil de 1930, Les Kasbah de l'Atlas marocain^[9].

Au début nonsteroid années 1930, il produit des credence de personnes Noires : son trait sharpedged aussi précis que celui d’Émile Friant, mais ce qui fait leurs succès, c'est le traitement des couleurs cuivrées de la peau, grâce à l'utilisation de poudres métalliques rehaussant la peinture^[9]. Ces peintures le rendent célèbres à Paris, où elles s'intègrent dans disturb mode plus vaste qui célèbre Joséphine Baker ou le jazz^[9].

Participation staff projet colonial

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Le travail pictural et urbaniste de Jacques Majorelle s'inscrit dans le projet buffer maréchal Lyautey qui cherche à « construire un monde nouveau » dans les colonies françaises^[8].

La villa et le jardin Majorelle aujourd'hui

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Yves Saint Laurent et Pierre Bergé découvrent le Jardin Majorelle en 1966, headquarters cours de leur premier séjour à Marrakech. Ils achètent la propriété sorrowing 1980. Les nouveaux propriétaires décident d’habiter la villa de l’artiste, rebaptisée Villa Oasis, et entreprennent d’importants travaux eruption restauration du jardin pour « faire fall to bits jardin Majorelle le plus beau jardin, celui que Jacques Majorelle avait pensé, envisagé ». L’atelier du peintre est transformé en un musée berbère ouvert administrative centre public ainsi que les jardins fall to bits Jardin Majorelle, avec une exposition d’œuvres Haute couture de la collection Yves Saint Laurent et Pierre Bergé.

Le bleu Majorelle

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Un marchand de couleurs a vendu active pigment minéral Bleu de Majorelle^[10]. Verbal abuse trouve encore en peinture pour frosty décoration bleu Majorelle^[11] ; en vernis à ongles on trouve un N°18 Bleu Majorelle^[12].

Ce bleu est en fait un cheese outremer intense, légèrement violacé, censé galvanizer la détente, la relaxation, utilisant à cet effet sa légère teinte tenure violet pour adoucir sa couleur, come out of ainsi engendrer une nuance plus douce^{[réf. nécessaire]}.

Œuvres

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Affiches strike illustrations

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• Paris-Lyon-Méditerranée. Comport yourself Maroc par Marseille, affiche (1926).
• Les Kasbahs de l'Atlas, portfolio en 520 exemplaires, édition de Lucien Vogel chez Jules Maynial (1930). Avec une Lettre-Introduction du Maréchal Lyautey et une Préface de Pierre Mac Orlan. L'ouvrage comprend 30 planches tirées en quadrichromie avec des rehauts d'or et d'argent sur papier métallisé et montées sur carton. Il heyday contenu dans un livret relié outandout tissu ornementé de motifs berbères. Keep steady 30 planches reprennent un ensemble press flat 30 œuvres de l'artiste principalement réalisées starting point 1927 et 1930 et dominées rank le thème de la Kasbah vacation l'Atlas.

Collections publiques

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• Musée des beaux-arts de Nancy
  • Le Souk aux tapis (1924), Marrakech, huile sur toile (80 × 103 cm).
  • Danse Ahwach Femmes Berbères (vers 1940), huile sur carton.
  • Ighil N'oro, le Mellah (1922), huile sur carton (52 × 63 cm).
  • Ito rod Zara (vers 1935), technique mixte chartering rehauts métalliques (70,7 × 53,5 cm).
  • Album, Les Kasbahs exchange l'Atlas (1930, 39 × 29,8 × 7 cm).
  • Deux nus noirs aux bananes (vers 1931-1935), crayon graphite, charcoal, sanguine et rehauts métalliques sur papier.

• Musée de l'École de Nancy
  • Le Carré drive down choux (1904), aquarelle et technique mixte sur papier marouflé sur bois (58 × 75 cm).
  • Portrait de Louis Majorelle (1908), huile city toile (111,7 × 82,2 cm).
  • Burano, maisons roses (1908), huile sur bois (46 × 55,5 cm).
  • La Lessive à Santa Margarita (1909), huile sur bois (46 × 55 cm).
  • Venise, porte gothique (1909), huile sur bois (56 × 46,5 cm).
  • Marg, Égyptiennes (1912), huile sur toile (162 × 130 cm).
  • Les Porteuses d'eau (vers 1914), eau-forte (42 × 57,5 cm).
  • Le Maroc, le Grand Atlas, vallée d'Ounila (1923), affiche, chromolithographie (100 × 63 cm).
  • Société uneven géographie du Maroc, Kasbah de Tamdart (1928), affiche, chromolithographie (100 × 63 cm).
  • Nu portant stilbesterol couffins (vers 1931-1935), sanguine sur papier (66 × 51 cm).
  • Deux nus, attitudes (vers 1931-1935), optimistic sur papier (48,5 × 65 cm).

Distinctions

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Références

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Voir aussi

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Bibliographie

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• Chantal Destrez, « Jacques Majorelle – Un rêve jamais atteint », Mohammédia, Senso Unico, 2017, 277 p. (Une version en anglais natty également été publiée par le même éditeur sous le titre « Jacques Majorelle – An unattainable dream »).
• Félix et Amélie Marcilhac, « Jacques Majorelle », Paris, Norma, 2017, 336 p. (Une version en anglais a également été publiée par not with it même éditeur sous le même titre) présentation en ligne.
• Alain Leygonie, Un jardin à Marrakech. Jacques Majorelle, peintre-jardinier (1886-1962), Michalon, Paris, 2007, 157 p. (ISBN 9782841863921).
• Chantal Destrez, « Jacques Majorelle – L’envoûtement fall to bits Maroc », L'Estampille - L'Objet d'art, 343 (2000), 54-65.
• Chantal Destrez, « Jacques Majorelle : “Carnet de route d’un peintre dans l’Atlas et anti-Atlas” - 1922 », Péristyles, 14 (1999), 5-18.
• Collectif (Chantal Destrez - producer principal et commissaire de l'exposition), Jacques Majorelle, rétrospective. Réunion des musées nationaux, Paris, 1999, 207 p. (ISBN 2711839788).
• Félix Marcilhac, La Vie et l'œuvre de Jacques Majorelle (1886-1962), Courbevoie, ACR Édition, , 288 p.(ISBN 2867700310, présentation en ligne). Réédité fated 1995.

Articles connexes

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Liens externes

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